Jeudi, les lycéens ont bloqué plus de 200 lycées en France ; à Paris, nous ont été remontées les cités scolaires Voltaire, Lamartine, P. Valéry, Chaptal, Ravel, Bergson, J. Decour, Monet, Brassens, Racine, J. Ferry, Rodin, les lycées Louis le Grand, Colbert, Arago et Turgot.

Jeudi, la jeunesse était massivement présente dans les manifestations.

Jeudi, à République, la police a organisé des provocations pour casser la manifestation. Le gouvernement veut mettre en avant la violence, dont il a l’entière responsabilité. Il veut faire peur aux manifestants, il veut faire peur pour faire passer sa loi que tout le monde rejette.

Jeudi, l’intersyndicale interprofessionnelle à appeler à la grève et à manifester mardi 28 mars.

Lundi 27, partout, essayons de réunir nos collègues pour discuter de la grève, de la grève jusqu’au retrait.